WINE A BEE™, mon livre très attendu qui sera disponible à la fin d'avril, est une compilation de...
En Amérique du Nord, le vin est souvent réservé pour les fins de semaine. Pourquoi ? C'est tout simplement pratique – en cas de maux de tête ou d'autres effets secondaires, vous avez le dimanche pour récupérer avant la routine du lundi.
Cette habitude contraste nettement avec la culture française, où le vin est un rituel quotidien apprécié pour ses qualités, améliorant les saveurs des repas, facilitant la digestion, et contribuant même aux soins des patients dans les hôpitaux. Que pouvez-vous apprendre de ces comportements divergents envers le vin ?
Si vous avez dégusté du vin En France, vous avez probablement remarqué la différence. Beaucoup disent pouvoir profiter du vin là-bas sans maux de tête ni effets secondaires, alors qu'en Amérique du Nord, même un seul verre peut induire somnolence et maux de tête. Est-ce uniquement l'atmosphère des vacances, ou y a-t-il autre chose en jeu ?
Contrairement à la croyance populaire, cela n'est pas dû aux sulfites. D'ailleurs, n'est-il pas curieux que les avertissements concernant les sulfites soient exclusifs aux bouteilles de vin, bien qu'ils soient présents dans la plupart des produits alimentaires, en quantités bien plus importantes ?
Le vin, unique parmi les produits alimentaires, n'est pas accompagné d’une liste d'ingrédients. Même l'eau en bouteille possède une liste d'ingrédients – alors, pourquoi ce manque de transparence avec le vin ?
Considérez le reportage de Morley Safer dans 60 Minutes sur le Paradoxe français, une révélation des années 90 qui a mis en lumière le vin rouge comme un tonique bénéfique pour la santé et a triplé ses ventes en Amérique du Nord. Mais au-delà du buzz, comment le vin vous affecte-t-il réellement après quelques verres ?
Si vous avez ressenti des maux de tête, des rougeurs ou de la fatigue, vous n'êtes pas seul. Lors de mes dégustations de vin, près de 95 % des participants signalent ces effets secondaires indésirables. De manière alarmante, les 5 % non affectés se sont tellement habitués que leur corps ne les alerte plus du danger, les exposant à des risques pour la santé, y compris des maladies graves.
Ressentir des maux de tête après juste un ou deux verres n'est pas anodin – cela signale une préoccupation sérieuse. De tels symptômes suggèrent la présence de produits chimiques surchargeant votre système, semblable à un empoisonnement sanguin. Votre foie lutte en silence contre un assaut chimique pour lequel il est mal équipé.
Et si votre habitude de vin de la fin de semaine minait subtilement votre santé ? Sans une connaissance approfondie de chaque ingrédient dans votre vin, votre rituel de détente pourrait éroder votre santé.
En janvier 2023, le Centre canadien sur l'usage des substances et la toxicomanie (CCSA) a lancé un avertissement sévère, exhortant les consommateurs de vin à modérer leur consommation – la limitant à un verre par semaine pour les femmes et deux pour les hommes. Cet avis n'était pas arbitraire ; il était ancré dans des découvertes inquiétantes reliant la consommation d’alcool à 14 000 décès et de nombreux diagnostics de cancer à travers le Canada. Les États-Unis, pour leur part, font face à leur propre réalité sombre, avec environ 95 000 décès liés à l'alcool chaque année, comme rapporté par le Conseil national sur l'alcoolisme et la dépendance aux drogues (NCDAS). Ces chiffres des deux nations soulignent le besoin critique d'une approche prudente et informée de la consommation d'alcool.
Ces recommandations sur la consommation “d'alcool” est abordé de façon très large sans distinguer les effets secondaires variés spécifiques à différentes boissons, telles que le cidre, la vodka, le whisky et la bière. Cela soulève la question : pourquoi une telle généralisation ? Avez-vous remarqué les différences dans les effets secondaires entre chacune de ces formes d'alcool ?
L'industrie du vin à l'échelle mondiale augmente tranquillement ses marges bénéficiaires sur le dos de votre ignorance, vous vendant un produit alimentaire d'une valeur stupéfiante de 340 milliards de dollars annuellement sans que vous connaissiez sa composition. Ce manque de transparence leur donne "carte blanche" pour utiliser tous les ingrédients qu'ils souhaitent. Et tandis qu'ils vous distraient avec les sulfites, l'ajout de 500 autres produits chimiques passe inaperçu.
En référence avec les années 1950, quand fumer était à la mode, pour réaliser plus tard que l'industrie du tabac privilégiait le profit plutôt que la santé publique – un schéma reproduit dans l'industrie du vin. L'ignorance pourrait vous coûter plus cher que vous ne le pensez.
Ne laissez jamais les autres profiter de votre manque de connaissance.
Essentiellement, si vous consommez plus d'un verre de vin par semaine, que vous vivez au Canada ou aux États-Unis, et que votre santé est une priorité, ce livre vous sera d’une grande importance. Tirant parti de quatre décennies d'expérience dans l'industrie et enrichi par des données concrètes de plus de 15 000 individus comme vous. Plus qu'informatif, ce livre est transformatif, comme en témoignent mes participants. Ils ont ravivé leur ferveur pour le vin, libérés leurs inquiétudes des effets secondaires, et revitalisés leur santé et leur énergie.
Il ne s'agit pas des mots que je partage ; il s'agit des preuves qui les soutiennent. À travers des notes de dégustation et des témoignages, je présente l'impact profond et positif que cette compréhension a sur la vie et la santé. Il transcende les anecdotes pour devenir un témoignage du changement.
Engagés dans une vie saine, comme vous, mes participants croyaient pourtant avoir fait des choix conscients – optant pour des produits biologiques, réduisant l'apport chimique et ne compromettant jamais la qualité de ce qu'ils consomment. Ils chérissaient les moments de vin les fins de semaine, pensant faire les bons choix. Pourtant, ils ont découvert qu’il était inutile de payer plus pour une nourriture de qualité s’il était annulé en consommant une seule bouteille de vin sélectionnée au hasard.
En collaboration avec des professionnels de la santé, j'ai aidé à identifier les signes d'une consommation de vin potentiellement nocive. Les conversations avec des patients atteints de cancer souhaitant accéder aux connaissances auxquelles vous avez accès aujourd’hui ont été marquantes. Ces personnes, recherchaient d’abord et avant tout, la prévention, pas seulement la guérison.
Ce livre unique en son genre ne traite pas seulement des inconvénients du vin ; il s'agit de comprendre le monde du vin de bas en haut, en créant une base solide que vous pouvez utiliser à votre avantage. C'est votre guide pratique pour intégrer le vin de manière transparente dans votre vie trépidante et soucieuse de votre santé.
Je démystifierai l'industrie du vin, en décomposant ses complexités en morceaux compréhensibles. Lorsque vous tournerez la dernière page, vous serez équipé de compétences pratiques pour choisir, marier, conserver, préparer et servir vos vins. Vous naviguerez sans effort dans les conversations vinicoles, élevant votre présence sociale et votre influence. Cela vous permettra d'être un phare de sagesse pour vos proches, les guidant à faire des choix de vin éclairés et bien plus encore.
Ultimement, WINE A BEE™ reflète les éléments de succès de mes ateliers de dégustation de vin – éducatif, basé sur des preuves et irrésistiblement engageant. C'est une invitation à enrichir vos fins de semaine de découverte, à devenir un connaisseur informé, à joindre la gastronomie et la santé, et à infuser de la joie et du savoir à chaque gorgée. C'est un compagnon unique et inestimable pour quiconque aspire à une approche plus saine et plus éclairée de cette boisson intemporelle.
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